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Selon des études, les millenials feraient moins l’amour que leurs aînés. Pourtant, avec l’envoi de sextos et le sexe au tel, les applications de rencontres rapides qui sont nombreuses, la tendance des genres littéraires un peu osés ou encore les émissions de télé avec moins de pudeur, on oserait croire que millénial va de pair avec une émancipation sexuelle plus prononcée !

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Une vie sexuelle plus tardive ?

Le sexe au tel a de plus en plus la côte si bien que les millenials ont une vie sexuelle un peu tardive. En effet, d’après des centres américains de prévention et de lutte contre les maladies, le pourcentage des jeunes de 14 à 18 ans a considérablement baissé de 1991 à 2017. En une génération donc, on peut constater qu’une poignée de jeunes ont fait leurs premières expériences sexuelles durant l’adolescence.

Pourtant, on ne peut nier qu’avec le sexe au tel, on fait plus face au fast sex. Généralement, le début d’une relation c’est le mariage, mais vu le nombre de divorce, les jeunes ont peur de s’engager et préfèrent aller rapidement au lit quitte à mettre plus de temps à présenter leur moitié à leurs parents et leurs amis.

Si vous souhaitez plus d’information sur le fast sex, également appelé « quickie », cliquez ici.

Avec le sexe au tel donc, on constate que les jeunes ne se mettent plus en couple. Les personnes qui ont moins de 25 ans sont 60 % à vivre seuls. En plus, un célibataire sur trois vit chez ses parents. Question intimité, ce n’est donc pas une chose évidente.

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Quid des applications de rencontres ?

Les applications de rencontres sont très tendance chez les jeunes de 18 à 25 ans. Sur Tinder, il y a un peu plus de 3 millions de personnes inscrites. Aujourd’hui, pour les millenials, draguer est un comportement un peu louche et suspect. Sur les applis de rencontre aussi, ce n’est pas évident, car vous pouvez envoyer des messages à plusieurs femmes, mais peu sauteront le pas d’une rencontre ou d’une relation plus approfondie.

On se demanderait donc si on ne ferait pas face à une génération un peu pudique. Avec la place des réseaux sociaux comme Instagram, la confiance en soi est quelque peu dépeinte. Se crée alors un certain complexe, surtout quand il s’agit de se mettre nu à la piscine, à la plage ou tout simplement devant son partenaire. De ce fait, on préfère se limiter au sexe au tel ou encore au visionnage de vidéos pornographiques.

Fait-on face à une récession sexuelle ? Toutefois, cette récession a des avantages en ce sens qu’il y aurait une réduction des rapports forcés et subis, et donc il y a une baisse de mauvaises expériences. Ce que l’on retient de cette jeune génération ?

  • Une place importante du smartphone et des réseaux ;
  • Une mise en avant de l’apparence physique ;
  • Une sexualité plus tardive.