L’un des endroits sur terre où j’ai vécu des vacances mémorables était l’Iran. Cette contrée, anciennement connue sous le nom de Perse, recèle de lieux formidables qui m’ont fasciné durant mon séjour. Pour commencer mon périple dans ce vaste territoire de 1 648 195 km², je m’étais rendu dans la capitale, Téhéran. Que fut ma stupeur de voir une immense mégapole avec de grands immeubles et une foule de personnes.

En effet, dans ma tête, j’avais imaginé les villes iraniennes comme de petites bourgades perdues au beau milieu du désert. Cette bonne surprise m’a donné encore plus envie de découvrir les charmes de ce pays d’Asie de l’Ouest et effacer tous les préjugés que j’ai eus de l’Iran. Le premier endroit que j’ai visité à Téhéran était le palais de Golestân.

L’intérieur de ce complexe est magnifique et rappel à quel point la Perse fut un empire glorieux. Après le Golestan, j’ai décidé de chiner dans le bazar de Téhéran. Ce marché abrite de nombreux étalages où j’avais eu l’occasion d’acheter quelques souvenirs pour la famille.

Le parc national du Golestân, une merveille écologique d’Iran

Pour poursuivre mon circuit en Iran, je m’étais rendu dans le parc national de Golestân. Encore une fois, je fus étonné de savoir que ce pays possédait une réserve de biosphère. Avec ses magnifiques paysages constitués de forêts, de vallées verdoyantes, de montagnes et de steppes, cette aire protégée m’avait donné envie de faire un trek et de prendre de belles photos. Toutefois, explorer ce site d’une superficie de 870 km² m’aurait pris beaucoup de temps, chose que je n’avais pas.

Je m’étais donc rabattu à une petite randonnée d’une demi-journée. Même si ce fut court, cela m’a permis d’admirer de nombreuses espèces de mammifères, à l’exemple de la chèvre sauvage, du renard, du lièvre, du lynx et de l’ours brun. Cette balade m’a également donné l’occasion d’observer plusieurs espèces d’oiseaux tels que l’aigle royale, la mésange charbonnière, le geai des chênes et le hibou.

Ispahan, une ville historique de l’Iran

Pour terminer mon séjour en Iran, je m’étais rendu dans la ville historique d’Ispahan. Cette métropole a été la capitale de l’empire perse durant le règne de la dynastie des Safavides entre le XVIe et le XVIIIe siècle. Dès mon arrivée dans cette localité, je fus ébahi par le contraste entre la verdure qui domine dans cette cité et la vaste zone désertique qui l’entoure.

Le premier lieu que j’ai voulu découvrir à Ispahan était le Meidān-e Emām. Cet endroit, mieux connu sous le nom de place Naghsh-e Jahan, est l’un des plus grands espaces urbains de la planète. Il a été créé par le Chah Abbas Ier au début du XVIIe siècle.

En me promenant sur ce site, j’ai pu admirer des monuments remarquables comme le palais Ali Qapu, la mosquée du Chah et l’une des portes menant au grand bazar d’Ispahan. Après cette balade, je m’étais dirigé vers la cathédrale Vank.

Ce sanctuaire religieux ressemble étrangement à une mosquée. À l’intérieur, j’ai eu l’occasion de voir des fresques racontant la légende du fondateur de l’église arménienne, saint Grégoire l’Illuminateur.